Une première prise fatale pour un homme déjà pas mal fragilisé mentalement. Dès 1983, le Liégeois devient accro et se shoote tous les trois jours au minimum, parfois quotidiennement, jamais en tournoi néanmoins comme il s'est toujours défendu, même s'il reconnaît aujourd'hui volontiers sa dépendance, comme lors de cette interview donné au quotidien belge La Dernière Heure en 2007: « Si un jour j'ai glissé vers les paradis artificiels, c'est parce que je n'ai jamais eu l'entourage adéquat. Du jour au lendemain, grâce à mon talent de joueur de tennis et aux bons résultats que j'obtenais, je me suis vu traiter comme un prince avec des liasses de gros billets dans les poches alors que je provenais d'un milieu très modeste où mon argent de poche était dérisoire comme somme. Tout cela vous rend vulnérable. » Malgré l'emprise de la drogue et les ravages qu'elle produit sur sa santé mentale autant que physique, Boileau remporte deux derniers titres de champion de Belgique en 1984 et 1985. Trois mois de prison et la main tendue de Yannick Noah Son jeu se dégrade ensuite, au point de devoir ranger les raquettes en 1988, à même pas 29 ans.
S'il parvient à décrocher de l'héroïne, il compense par une prise massive d'alcool. En 1990, l'ancien champion se retrouve condamné à 3 ans de prison dont 6 mois ferme pour vol avec violence. Il purgera finalement 3 mois. Yannick Noah, son ancien adversaire, lui donne alors un coup de main en lui confiant la branche belge de « Fête le mur », son association en faveur de la pratique du tennis dans les quartiers défavorisés. A nouveau jugé en 2000, pour outrage à huissier cette fois, Boileau aurait aujourd'hui retrouvé une certaine stabilité dans sa vie, loin de la gloire et des excès de ses jeunes années. Au moins a-t-il faite sienne la fameuse expression: brûler la chandelle par les deux bouts. Par Régis Delanoë
Boileau découvre aussi le circuit international, participant quatre fois au tableau principal de Roland-Garros et trois fois à Wimbledon, sans compter les tournois mineurs où il réussit quelques belles performances pour se hisser jusqu'au 42 e rang mondial en 1983. Cette saison-là, il remporte d'ailleurs aussi son seul titre ATP: l'open de Nice en double avec le Tchécoslovaque Libor Pimek. Une année 1983 en forme de climax pour un champion à la vie déjà pas mal dissolue en dehors des circuits et qui va franchement partir en vrille à partir de ce moment. Car l'arrivée de Bernard Boileau dans le grand monde du tennis belge puis mondial a aussi son côté sombre. Privé de cadres et de repères dans cette nouvelle vie loin de ses origines ouvrières, le jeune homme profite à fond de sa gloire naissante, de l'argent facile et de son physique hypnotique. Tous les soirs, il sort et se consume, réussissant par son seul talent à compenser une hygiène de vie peu raccord avec le haut niveau. Un shoot quotidien, sauf les veilles de match Lors d'un camp d'entraînement en Floride, Boileau découvre d'abord la marijuana, puis un « ami » lui propose de tester l'héroïne.
C'est en ces termes que l'administration pénitentiaire entend gérer le quotidien des personnes qui lui sont confiées, concernant l'accès à l'informatique. Une circulaire d'août 2006 fixe le cadre de "l'informatique en cellule" et "en salle d'activité", de manière particulièrement restrictive, et ce d'autant plus que, dans le même temps, les matériels évoluent rapidement. En cellule, une personne ne peut posséder qu'un seul ordinateur (non portable), avec un seul disque dur. Sont interdits en cellules: les imprimantes laser, les souris sans fil, les appareils photos numérique, les CD et DVD vierge, les clef USB, les disques durs externes (ou sur rack amovible), les liaisons par réseau filaire ou sans fil, les logiciels de PAO et de DAO, etc. A se demander pourquoi il est précisé "tout ce qui n'est pas explicitement autorisé est interdit"... C est pas autorisé mais c est pas interdit du. La circulaire précise également, de façon extrêmement détaillée, les caractéristiques des cartes mères et cartes graphiques autorisées et interdites; pour résumer, les matériels suffisamment performants pour permettre le fonctionnement de certains logiciels, notamment de jeu, sont interdits.
#1 est il autoriser de jurer sur le coran? car pour savoir si certains musulman me disent la vérité je leur temps un Coran et leur demande de jurer sur le Coran ce kil refuse automatiquement et ont peur car il disent ke lislam l'interdit! je leur répond si vous avait la consience trankil vous n'avait pas a avoir peur de jurer dans se cas jurer au nom du Coran! le chrétien jure sur la Bible pour dire la vérité alors pourkoi pas vous? dans ce kas vous mentez! après il ne répondent pas et partent génés! est ce un péché de jurer sur le Coran si on dit la vértité? « Tout ce qui n'est pas interdit est permis » : l'application du principe aux autorités publiques | La base Lextenso. un mensonge je comprendrai mais pas la vérité! #2 As-Salam Alaikum / Bonjour, Le Coran est un livre sacré et on ne jure pas dessus, je ne sais pas si c'est explicitement interdit mais nous musulmans ne le faisons pas car nous respectons le Coran et il ne sert pas à "jurer" pour prouver à quelqu'un qu'on dit la vérité. Donc tu te promènes toujours avec un Coran? Que tu sors chaque fois que tu interroges un musulman? Vraiment bizare comme technique #3 ke le ciel me pardonne mais j'ai énormément souffert avec bocou de fidèles de l'islam!